Kinésithérapie respiratoire
La kinésithérapie respiratoire pédiatrique, pour les nourrissons et nouveaux-né
Il s’agit de manœuvres thoraco-abdominales visant à augmenter le flux expiratoire et provoquer le désencombrement bronchique dans le cadre des bronchiolites.
Les séances sont réalisées après un bilan afin d’évaluer l’état général de l’enfant, s’il présente des signes d’aggravation ou de gravité. Ce bilan évalue le rapport bénéfice/risque. (HAS : Prise en charge de la bronchiolite du nourrisson)
Pour ces consultations, nous possédons un oxymètre de pouls.
En dehors du soin, les séances de kinésithérapie respiratoire pour les enfants ont un rôle pédagogique et d’accompagnement des parents :
- surveillance des signes de gravité,
- communications au médecin traitant si besoin,
- apprentissage du mouchage des nouveau-nés,
- positionnement au lit,
- connaissance des facteurs de risque.
Réseau-Bronchiolite Ile-de-FranceRéseau-Bronchiolite Ile-de-FranceSi cela est nécessaire, vous pourrez bénéficier du « réseau bronchiolite d’Ile de France » pour les soins du week-end et des jours fériés.
Ce réseau est fermé l’été et ré-ouvre le 9 octobre 2015 – N° de téléphone : 0820 820 603.
Ce réseau est fermé l’été et ré-ouvre le 9 octobre 2015 – N° de téléphone : 0820 820 603.
La kinésithérapie respiratoire pour adultes est une kinésithérapie active pour les patients.
Les soins sont réalisés grâce à l’apprentissage de la ventilation dirigée abdomino-diaphragmatique, le désencombrement par l’Augmentation de Flux Expiratoire (AFE), nous travaillons également les volumes respiratoires en prévention des évolutions des pathologies comme la Broncho Pneumopathie Chronique Obstructive (BPCO), l’emphysème, l’asthme sévère également.De plus en plus sujette à des rhumes qui rapidement dégénéraient en infection respiratoire, mon médecin traitant me prescrivait quelques séances de kinésithérapie respiratoire, pour désencombrer mes bronches. Je ne les faisais pas du tout ou jamais toutes! Mais sur une année, j’étais pendant dix mois environ aux antibiotiques, toujours de plus en plus forts et pas toujours bien supportés. De ce fait, je me suis obligée à respecter les prescriptions médicales et à trouver un kinésithérapeute de qui j’entendais parler avec satisfaction.
Je reconnais que c’est un traitement naturel, sain, mais contraignant, pas toujours facile. Il faut être assidue, consciente et faire confiance au bien que procure la kinésithérapie pour ce type de pathologie. En plus, le découragement prend ou reprend le dessus, le kinésithérapeute est aussi un aide morale.
En résultat, pour moi, je n’ai pas pris d’antibiotique depuis deux ans et mon état général est meilleur.